Une belle présentation de Fief… et d’autres jeux … pour bien préparer les vacances…
Avec « La grosse partie » : « Le lièvre et la tortue ».
http://noco.tv/emission/21861/nolife/a-table/16-la-localisation-des-jeux-le-lievre-et-la-tortue
Une belle présentation de Fief… et d’autres jeux … pour bien préparer les vacances…
Avec « La grosse partie » : « Le lièvre et la tortue ».
http://noco.tv/emission/21861/nolife/a-table/16-la-localisation-des-jeux-le-lievre-et-la-tortue
Un 9/10 et une très bonne critique à voir sur Board to Death TV (english inside).
Dans la règle p 11, § 5.1 Contrôler un village, on peut lire : « Le joueur qui contrôle un village peut décider à tout moment de céder le contrôle à un autre joueur présent dans le village. » A tout moment signifie bien… n’importe quand ! Durant n’importe quelle phase de jeu. Exemples : Au cours de la phase « Oyez oyez » un joueur cède un village contre des écus ou comme dot dans le cadre d’un mariage… Au cours de la phase Revenus, un joueur peut décider de laisser le contrôle à un autre joueur, c’est donc ce dernier qui touchera les revenus liés à ce village… Au cours de la phase Achats cela peut permettre à un joueur d’avoir le contrôle de tous les villages d’un fief et ainsi acheter le titre etc. Pour ce changement de contrôle la présence d’un seigneur sur le village en question n’est pas nécessaire. Quand un village change de propriétaire, ce dernier ne peut pas empêcher les déplacements des soldats déjà présents sur ce village.
Le cardinal peut tenter de calmer une révolte sur n’importe quel évêché… même sur un évêché qui n’est pas gouverné : qui n’a pas de titulaire (évêque pas élu). Il faut pour cela qu’il dispose de 3 écus.
Il y a une révolte par carte révolte jouée. L’évêque doit calmer toutes les cartes « Révolte », une par une. De même le cardinal doit donner 3 écus par carte « Révolte » posées. Si sur un village 2 cartes « Révolte » sont posées, un cardinal doit donner 3 écus par carte.
Ses effets peuvent être dévastateur.
Comme indiqué page 16 de la règle, cette carte a pour effet de faire immédiatement prisonnier un seigneur qui participe à un combat. C’est une carte Surprise mais elle ne peut être jouée que pendant une bataille et que par un joueur impliqué dans le combat ; quelque soit le lieu de la bataille : en plein champ sur un village ou contre un château ou une cité. La règle précise : « dans laquelle il y a au moins un seigneur engagé ». Ce qui signifie qu’un joueur qui n’a pas de seigneur impliqué dans cette bataille ne peut pas jouer cette carte. Par exemple le joueur A attaque avec le seigneur Eric le joueur B. ce dernier a des troupes mais pas de seigneur sur ce village, il ne peut pas jouer la carte Embuscade contre le seigneur Eric.
S’il n’y a pas d’autre seigneurs dans cette armée, elles sont démoralisés par la perte de leur chef, elles disparaissent du plateau de jeu. Le joueur A attaque avec le seigneur Eric une troupe du joueur B qui est commandée par le seigneur Henri. Le joueur B pose la carte Embuscade, le seigneur Eric est fait prisonnier. Tous les soldats qui l’accompagnaient sont retirés du plateau de jeu et reviennent dans la cité ou un château du joueur au début du prochain tour, à défaut à côté d’un seigneur de la même famille.
Une jolie vidéo pour présenter la nouvelle édition de Fief.
Toutes mes félicitations au responsable du site « Le grimoire de l’Alchimiste ».
http://grimoirealchimiste.com/2015/02/21/fief-test-de-lalchimiste/
Voici la règle complète de l’extension Fief sur les croisades… Bon voyage.
http://www.asyncron.fr/PDF/FIEF_Croisades_vFRWeb.pdf
Un château ne doit pas être laissé vide. S’il est vide, cela signifie que le village sur lequel il est n’est pas contrôlé. Un village qui n’est pas contrôlé n’appartient à personne et ne rapporte pas d’écus lors de la phase « Revenus », ni l’écu du village, ni les revenus des moulins présents sur le village. Normal : il n’y a personne pour faire payer les pauvres paysans !
On contrôle un village en y laissant au moins un pion Sergent, Chevalier ou Seigneur. Un pion « Engins de siège » ne peut pas assurer ce contrôle.
Si un château est vide n’importe qui peut se l’approprier… il suffit d’y amener des troupes.
Les révoltés qui attaquent un château vide… l’occupe… et le détruisent.
Si le château est vide… il n’appartient à personne et donc : à la phase « Cartes », personne ne peut y poser un nouveau seigneur et à la phase « Achats »… personne ne peut y poser de nouvelles troupes. Ce n’est pas la même chose pour les villages (et les châteaux) faisant partie d’un fief, mêmes vides, ils sont contrôlés et appartiennent au seigneur qui détient la couronne du fief.
Précisions : un seigneur (homme ou femme) seul(e) est automatiquement fait prisonnier s’il est attaqué par une troupe supérieure en nombre (un autre seigneur + un sergent par exemple, ou 2 seigneurs homme. Même chose s’il est seul dans un château ou une cité.
En début de partie les pions Sergents sont plus utiles que les pions Chevaliers pour assurer le contrôle de tous les villages d’une région.
Dans la nouvelle version de Fief le fonctionnement des trébuchets est modifié. Quand un joueur décide de mettre en place un siège, il pose un pion trébuchet. Ce pion est maintenant gratuit alors qu’il coûtait 10 écus dans la précédente version. Au tour suivant, lors de la phase combat il pourra utiliser un dé de combat supplémentaire contre le château ou la cité qu’il assiège. S’il décide de poursuivre le siège, il retourne le pion trébuchet qui correspond à une seconde machine de guerre et au tour suivant il pourra utiliser un second dé supplémentaire de combat. Dans le cas d’un siège fait avec plusieurs joueurs assiégeants, chacun peut poser un trébuchet, ce qui donne deux dés supplémentaires après le premier tour de siège.
Vous pourrez comme moi assister au fonctionnement du plus grand trébuchet de France (16 m). Il se trouve au château des Baux de Provence. Dans un superbe château médiéval qui domine à 45 mètres de hauteur le plateau de Costapera avec vue imprenables sur les Alpilles. On y expose un grand nombre de machines de siège avec des démonstrations de tirs tout à fait surprenantes. Je vous recommande vivement cette visite.
http://www.chateau-baux-provence.com/
C’est possible, vous pourrez dormir dans un lit à baldaquin ou dans la suite tout en haut du donjon appelée le « Nid d’aigles » et la nuit, un soir d’orages ça le fait bien… De votre chambre vous apercevrez le château du marquis de Carabas… qui inspira Charles Perrault pour son conte du « Chat Botté ». Tout cela se passe au Château de Saint-Loup… dans le joli petit village de Saint-Loup sur Thouet à 20 minutes au Nord de Parthenay. Il s’agit de chambres d’hôtes, votre hôte, le comte, vous recevra comme un prince. Assurément, un séjour qui marque quand on aime l’Histoire, les histoires et les contes, et les chambres confortables.