Merci à Yanhdrev pour l’excellent travail de présentation de la règle du jeu en vidéo, qu’il a fait sur son site : http://videoregles.net/videoregle/fief
Bon visionnage.
Merci à Yanhdrev pour l’excellent travail de présentation de la règle du jeu en vidéo, qu’il a fait sur son site : http://videoregles.net/videoregle/fief
Bon visionnage.
Les cartes « Calamité » une fois posées sur un évêché durent un tour de jeu complet. Sauf si elles sont retirées par une carte « parade » : la carte BONNES RÉCOLTES permet de retirer la carte FAMINE et la carte BEAUX TEMPS permet de retirer la carte MAUVAIS TEMPS. Il n’y a pas de parade à la PESTE.
Toutes les cartes « Calamité » encore présentes à la fin d’un tour sont défaussées au tour suivant, au début de la phase 2 : Cartes (voir la règle § 4.2 p 10).
Une des cinq reliques. A chaque round, elle ajoute 1 point de dégât au jet de dés de son propriétaire. Elle doit se trouver sur le village où se passe le combat.
« Après la prise dAntioche, au cours de la première croisade (1098) les croisés se trouvent à leur tour assiégés. A lextérieur les Sarrasins bien remontés, à lintérieur de nombreux seigneurs occidentaux dont le comte de Toulouse et Adhémar, évêque du Puy et légat du pape. Le moral ny est pas, la ville est en proie à la famine et aux épidémies. Un pauvre prêtre de Provence, Pierre Barthélémy se présente à eux et leur révèle que dans une vision, Saint André lui a indiqué où se trouve la lance qui a percé le flanc du Christ. En effet, ils la découvrent en creusant un trou de plus de sept pieds dans la nef de léglise Saint Pierre. Galvanisés par cette découverte les assiégés sortent précédés dun étendard auquel la lance avait été attachée et écrasent larmée turque bien que très supérieure en nombre. »
Le prince héritier peut se faire élire évêque rien ne linterdit dans la règle. Mais sil fait le choix de rentrer dans les ordres il renonce « de facto » à la couronne. Il ne pourra pas être proclamé roi à la mort de « son père » ! Une fois élu évêque, le pion « Prince Héritier » est remis à sa place sur le plateau. Il pourra être utilisé par la reine sur un autre seigneur homme.
La possibilité de faire dun seigneur de sa famille le prince héritier est un super pouvoir réservé à la reine. Dun point de vue stratégie de jeu, je ne vois pas lintérêt quaurait un joueur à renoncer à ce pouvoir. Échanger un statut « Prince héritier » contre un statut « Évêque » ne me semble pas être une action très intéressante : le roi donne un point de victoire. A moins, que ce prince nambitionne de plus hautes destinées devenir pape par exemple ! Il faut en effet au moins être évêque pour être élu pape ce qui peut alors justifier ce choix : échanger une couronne contre une mitre… bientôt une tiare !
Comme toutes les cartes « CALAMITɠ», la peste dure un tour de jeu. Durant ce tour, toutes les troupes, seigneurs compris, qui entrent dans un évêché pestiféré sont touchées par la peste : 50 % de pertes pour les soldats et une chance sur deux den réchapper pour les seigneurs.
Mais ce fléau ne touche pas les soldats recrutés durant la phase ACHATS ni les nouveaux seigneurs qui arrivent dans le jeu. On considère que ces renforts sont immunisés, ils sont recrutés dans la population qui a échappé à lépidémie. De même, les seigneurs arrivés à maturité pour entrer dans la partie sont les survivants à la maladie.
Les troupes, sergents et chevaliers, ne peuvent se déplacer et attaquer quavec un seigneur à leur tête. Des soldats seuls ne peuvent pas attaquer, mais ils peuvent se défendre. Il est impossible de bouger des soldats sans un seigneur. De même, ils ne peuvent attaquer que si un seigneur est présent. Si sur un village se trouvent deux pions soldats appartenant à deux joueurs différents, ils ne peuvent pas se combattre.
Si un seigneur est assassiné alors quil menait une bataille, le combat sarrête pour la troupe qui laccompagne sauf si elle est attaquée, elle peut alors riposter mais elle ne peut pas être à linitiative de lattaque.